Mémoirede mon grand-père en 81 objets. Spectacle bilingue français/LSF. D’après une libre adaptation de Thomas Scotto. Durée : 55 minutes. Tout public à partir de 7 ans . Jauge : 200 personnes. Une rue, un jour de brocante. Chacun vide son grenier. La maison du vieux M. Wilson, au numéro 6, déborde Depuis la mort de sa femme, il n’a rien touché : « Chagrin et
Trouvezvous de meilleur mon grand-père et moi 2022?Il est temps de passer aux choses sérieuses avec notre test et comparatif. Nous avons compilé plus des 98732 critiques des experts dans cette domaine.
Jene saurai remercier assez mon mari qui m’a été d’une grande aide sur tous les plans. Je tiens à remercier tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce travail. A La mémoire de mon père. A l’être le plus cher, qui a tant sacrifié pour moi, quelle trouve ici ma reconnaissance et ma gratitude, à toi ma chère et aimable Maman. A mon cher et aimable
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Monmari du coup oui, par la force des choses il s’est intéressé à cette histoire. Ca fait 15 ans qu’on est ensemble donc il a connu mon grand-père, il avait 15 ans. Il a aussi vécu 15 ans avec la maladie de mon grand-père. Le décès de mon grand-père, qui était comme son grand-père. Mon mari il est exactement comme moi. C’est
Suiteà un AVC, un vieil homme, perd partiellement la mémoire. Une série de séances de rééducation avec une orthophoniste fera resurgir une mémoire blessée. []
Unpetit garçon nous raconte la vie de son arrière-grand-père en parcourant son jardin paysager. Car si la mémoire fait défaut à son aïeul tant aimé, les buis qu'il taille admirablement – ce jardinier est un véritable artiste ! – la ressuscitent magnifiquement. Oui, toutes les sculptures végétales extraordinaires réalisées par ce vieillard extravagant représentent sa vie
Nousl'avons fait pour le public, car l'intérêt est de perpétuer la mémoire de mon grand-père. Lors de la fermeture du premier musée,
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Aussi, dans le contexte des différentes commémorations de la guerre de 1914-1918, j’ai décidé de m’intéresser plus à mes arrière grands-pères qui ont combattu pour la France. Voilà ce que j’ai trouvé concernant un arrière grand-père maternel Émile THABOT. Phénomène intéressant qui sert entre autre à employer les journalistes, la généalogie mémorielle est à la mode, ainsi que le prouvait récemment le témoignage de politiques, comme le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN, découvrant certains membres de leur famille par le prisme de la guerre et de l’Histoire des combattants. À mon tour. Un Français de son temps Né le 19 février 1896 à Marseille d’une famille ayant manifestement choisi de s’installer en ville avec l’industrialisation. Fils unique de la famille Certifié à la fin de l’école primaire donc sachant lire, écrire et compter Horticulteur de profession Décédé à Marseille en 1990 à 94 ans quelques jours avant ses 95 ans Un soldat au service de la France Dont une des filles demandera pour lui la Légion d’honneur car il ne voulait pas de lui-même la recevoir d’un gouvernement socialiste ; deux fois cité et deux fois blessé. Un combattant du 29e bataillon de chasseurs Alpins Un médaillé militaire Mutilé de guerre après avoir reçu une balle qui s’est logée entre la première et la deuxième vertèbre. Il la gardera toute sa vie car aucun médecin sérieux n’a voulu lui enlever. Sa médaille militaire Admis dans l’ordre de la Légion d’honneur par un camarade de promotion de mon grand-père à l’école des Arts-et-Métiers Le texte de son discours de réception dans l’ordre. Nous y apprenons ses combats sur la Somme, en Alsace et en Italie. Félicité par le ministre de la Défense Félicité par le Préfet des Bouches-du-Rhône En attendant d’en apprendre aussi sur mes autres arrière grands-pères, je regrette sincèrement de ne pas avoir pu mieux connaître ces hommes dont la seule image que j’ai se résume à des photos et à des témoignages, parfois à des héritages plus étonnants comme la barbe rousse que je tire a priori de cet arrière grand-père Émile. Mais cette quête identitaire est importante.
Entre transmission et aliénation, les descendants des victimes de l’Holocauste tentent d’alléger le présent d’un lourd passé. Cette marche en mémoire de Mireille Knoll a été dure. J’ai regardé le ciel en pensant aussi à lui… » A Paris, en ce jour de marche blanche en hommage à l’octogénaire assassinée à Paris parce que juive, Florence avait en tête et épinglé au coeur le souvenir d’un autre juif, Salomon, son grand-père. Quelques jours auparavant, au Mémorial de la Shoah, elle murmurait en passant devant le Mur des noms des déportés où est inscrit celui de son aïeul Le travail de mémoire que j’entreprends ici autour de son histoire, c’est pour que l’on n’oublie jamais cette tragédie. » À peine une semaine plus tard, le terrible fait divers est venu raviver les mémoires familiales portant encore, soixante-dix-sept ans après la Shoah, le poids de la barbarie des bourreaux nazis. Pour Florence, le chemin entre la grande Histoire et la sienne est un sentier récent. J’ai découvert tard que mon grand-père, qui m’a en partie élevée, était un survivant de l’Holocauste. » Sur dénonciation, le commerçant a été victime de la rafle de la rue Keller, dans le 11e arrondissement de Paris, en août 1941. Interné à Drancy, il a ensuite été déporté à Auschwitz en 1942 jusqu’à sa libération en 1945. Il ne m’a jamais raconté. Ses chiffres tatoués sur l’avant-bras, il me disait que c’était pour ne pas oublier son numéro de téléphone », s’émeut-elle, en se souvenant de ce grand-père si plein de vie », qui la faisait tellement rire. Lui et ma grand-mère me protégeaient du récit de l’horreur. » Mais, un jour, l’adolescente zappe à la télé sur Shoah, le film de Claude Lanzmann, le documentaire de référence sur l’extermination des Juifs. La brutalité du passé se fracasse sur son présent de petite-fille. En voyant les tatouages des témoins, j’ai compris… Papy était mort deux ans avant. Impossible d’en parler à mamie. J’ai gardé le silence, le tabou… » Elle attendra ses 25 ans pour faire revenir les mots, délivrer la parole, entrouvrir la boîte à secrets familiale. Un geste l’y aide Ma grand-mère, avant de mourir, m’a remis dans un sac plastique des dizaines de lettres. Celles écrites par mon grand-père pendant sa captivité à Drancy. Elle m’a glissé Fais-en quelque chose. » Un héritage en partage, l’histoire personnelle à renouer avec le récit collectif, un travail titanesque. Fouiller les archives, dévorer essais et romans, éplucher rapports et actes administratifs, arpenter les allées et couloirs des lieux de mémoire. Découvrir même que sur la database des victimes de Yad Vashem à Jérusalem, Salomon avait été déclaré mort à Auschwitz… J’ai gardé le silence, le tabou… » Je me suis plongée dans la Shoah jusqu’à, parfois, en perdre pied. C’est le lot de beaucoup de descendants. Nous voulons tant comprendre comment une telle folie a détruit nos familles et nous hante encore. Le traumatisme infuse les générations et nous place devant la vertigineuse question de la transmission… Comment la porter ? Jusqu’où ? » Son combat est d’abord administratif, pour faire reconnaître que son grand-père est un survivant. Ensuite, de tenter de savoir ce qu’il s’est passé pendant ces années terrifiantes dans les camps. A-t-il été sonderkommando, effroyable rôle attribué à certains prisonniers contraints de participer à l’extermination finale ? Encore beaucoup de questions, peu de réponses. Si j’ai pu aller à Drancy, je me sens encore incapable de me rendre à Auschwitz. » Et puis, au fil de cette dizaine d’années de quête mémorielle, Florence a fini par sentir un souffle de vie plus puissant que le vent de la mort Ces lettres de papy sont pleines d’amour, d’espoir, de force. C’était du côté des vivants que je voulais entretenir la mémoire. » C’est alors au Mémorial de la Shoah, au coeur du Marais, qu’elle choisit de raconter Salomon. Le musée, ouvert en 2005, est un lieu de mémoire, d’exposition, de recherche et de documentation aussi incontournable que Yad Vashem, le musée de l’Holocauste à Washington et le Jüdisches Museum de Berlin. En 2017, le site de la rue L’Asnier a connu un record d’affluence en accueillant 228 900 visiteurs. L’une de nos missions, détaille Lior Lalieu-Smadja, responsable de la photothèque, est le recueil de documents, objets et photos de particuliers comme ceux de Florence. Soit ici, soit lors de nos collectes annuelles en régions 1. La préservation de ces pièces est indispensable à la transmission et à la prévention des crimes contre l’humanité. C’est aussi dire aux descendants combien leur histoire familiale garde une grande valeur dans l’Histoire. » Florence a franchi le pas en prêtant au Mémorial quelques documents pour numérisation. J’ai proposé ce qui pouvait faire sens en préservant toute leur intimité. Ce fut étrange de déposer là un peu de papy. Je pense l’honorer en lui donnant une place dans ce lieu si… » L’émotion étrangle la phrase. Comme le crayon qui hésite encore à encrer les souvenirs. Le futur projet de Florence sera sans doute au bout de la plume. Elle s’y essaie déjà lors d’ateliers d’écriture au Mémorial. Écrire, je ne sais pas comment, pour qui, mais ce sera pour ne plus laisser une page blanche sur l’oubli. » Valérie PARLAN. Source ouest-france
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à la mémoire de mon grand père